Les critiques sur Le Piano Aphone se multiplient et sont très encourageantes.
Voici ce que l’on peut lire sur le blog littéraire Au fil des mots :
« Merci aux éditions Lune Écarlate pour cette découverte.
Pierre, prend le train pour rentrer chez lui, à C. alors qu’il observe les autres voyageurs, tout en savourant ses sucreries préférées » je me délecte enfin des quelques rayons colorés recueillis, envoyant les crocodiles miniatures dévorer ce terrible monstre que l’on nomme craintivement » la faim » « . Une chose invraisemblable se passe, il se retrouve dans une gare inconnue. « Pff, j’ai dû dormir jusqu’au terminus », oui, mais voilà, dans cette gare aucun employé, Pierre n’y rencontrera qu’un fantôme amnésique.
Ensemble ils partent pour un périple, à la recherche pour Pierre d’un moyen de retourner chez lui, et pour notre fantôme que Pierre finira par surnommer Perhaps ( puisqu’il a un drôle accent anglais et que le mot, peut-être, semble être son préféré) à la recherche de son passé.
Difficile de décrire toutes leurs aventures sans spoiler, tout ce que je peux vous dire, c’est que la magie des mots de Pierre Benazech nous emporte. C’est une poésie digne du « petit prince », un périple à la magicien d’Oz, avec un soupçon, d’Alice au pays des merveilles, que ce cher Roald Dahl aurait pu écrire.
De ce dernier auteur, ce petit roman jeunesse, en ferra mention, à travers Charlie et la chocolaterie, car c’est aussi ça, le Piano aphone de nombreux clins d’œil à nos références culturelles. Personnellement, j’en ai reconnu cinq sur huit.
Un conte tout doux qui nous emporte dans un monde imaginaire merveilleux. Où l’on dort dans de surprenant anacondas vivants, transformés en hôtel, trois-étoiles, où l’on monnaie en sucreries, toutes plus étranges les unes que les autres. Pierre découvrira (et nous à travers lui ) la raison pour laquelle la lune est pleine de cratères. Et oui à cause d’une gourmandise.
Autant, nous savons que notre héros est parti de Toulouse, autant sa destination finale, uniquement nommée par C. ne nous gêne pas plus que ça. Peut-être que si nous l’avions su, la description finale, aurait eu moins de charme.
En conclusion :
Un style littéraire unique, des personnages fantasques et attachants, un très bon conte qui séduira les plus jeunes comme les amoureux de Roald Dahl, et du petit prince. Sans doute idéal en cette période qui annonce les fêtes de fin d’année.
Il est passé à un grain de sable du coup de cœur en ce qui me concerne. »
Je remercie chaleureusement l’auteur de ces mots qui me vont droit au cœur.
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